La reconnaissance – activateur scalaire
Pour que circule une onde scalaire, il faut un émetteur et un récepteur qui se reconnaissent mutuellement.
Activer en nous notre dimension scalaire, c’est, avant tout, nous reconnecter à l’Être, à l’essence de ce que NOUS SOMMES. Présence, Conscience, Puissance. L’Esprit avant la forme.
Ce processus se déroule en acceptant d’entendre et de répondre à l’APPEL INTÉRIEUR.
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Reconnaissance
Re : de nouveau (3-6-9)
Co : ensemble
Naissance
Ensemble, de nouveau, être en essence
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Re : de nouveau (3-6-9)
Connaissance
Nous reconnecter au grand Champ contenant l’ensemble des informations
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Quelle est donc cette reconnaissance ?
C’est celle de notre « fréquence fondamentale », notre note unique, notre signature vibratoire.
L’Univers vibre de la symphonie des fréquences fondamentales émises par TOUS les êtres qui le peuplent.
Quand chacun est à sa place, vibre en conscience du Tout, émet sa propre note : tout est aligné. Même les transitions, changements d’équilibre, sont intégrés dans l’ordre global. Être simultanément dans la coopération collective et dans le fait d’honorer notre propre note Unique permet la mélodie, jamais reproduite, du vivant qui se déploie et qui danse.
Activer notre dimension scalaire commence par cette étape de reconnaissance, qui s’active À L’INTÉRIEUR DE NOUS. Entre la Source divine et l’interface humaine.
OM TAT SAT. Depuis les plans différents, la multitude des facettes, je reconnais l’Un, je reconnais l’appel de l’Un, je m’y connecte et je m’y consacre.
En présence je me dépose, dans le Silence, pour accueillir l’Onde.
En conscience je crée le lien, j’élabore la synthèse, je compose la mélodie.
En puissance je lance la flèche, je suis le fil, je tisse la trame.
Tout ceci constitue l’onde scalaire.
En me reconnaissant comme émetteur-récepteur du champ unitaire, je permets à ma génétique de se conformer à cette vision et de développer les antennes adéquates.
Je déploie la spirale de mes gènes ; je stimule les hélices de mes protéines ; j’associe mon réseau cérébral astrocytaire en fractal avec le réseau des connexions cosmiques ; je déverrouille, active et parcours le labyrinthe de mon cerveau en déroulant le fil qui relie ma singularité au global.
Cette activation m’ouvre l’accès au champ de la Connaissance, où sont stockées toutes les informations en résonance avec mon expérience.
Je peux circuler partout, avoir accès à toute information utile et toute énergie nécessaire. Tout ce qui me correspond se présente et j’apprécie d’être à ma place, d’œuvrer à l’harmonie, pour le plus grand bien de tous et pour l’Amour de toute vie.
Je reconnais mes capacités, je reconnais ma légitimité, je reconnais ma valeur, je reconnais ma vision. Je reconnais ce qui me correspond, m’anime, me stimule, me réjouit. Je le reconnais et je l’offre à l’Un.
Mon humanité reconnaît ma divinité et ma divinité reconnaît mon humanité.
Alors le feu s’embrase en mon Cœur, je fusionne et je sais qu’en essence JE SUIS PUR AMOUR ÉTERNEL.
Je reconnais l’Amour comme Esprit et Énergie vitale, et Je Suis cette énergie en mouvement, génératrice et nourricière des formes.
L’interface humaine est une fractale de ce Tout ; une fractale qui dispose, si elle est alignée et connectée en scalaire, des propriétés et qualités du Tout.
Dans cette conscience, mon positionnement conditionne la réalité expérimentée.
En intégrant ce vécu, en choisissant de l’honorer et d’œuvrer à le déployer, de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps, de plus en plus nombreux, je me positionne à la juste place qui me correspond.
CE QU’ON RECONNAÎT DEVIENT
RÉALITÉ EXPÉRIMENTÉE
En dedans nous avons accès à tout : toute la connaissance nécessaire, tous les chemins, toutes les possibilités. Quand cela est vu, reconnu, vécu, apprécié, intégré, pratiqué, une mutation cérébrale opère. On s’installe en scalaire en mode prioritaire.
Cela se fait d’abord en dedans, par les connexions de plus en plus fréquentes, intenses et élaborées entre l’humaine et le divin : la personne et l’Être. L’âme est la navette entre les deux.
La richesse intérieure modifie la structure énergétique de l’interface, fait passer au second plan les histoires mélodramatiques de la personnalité.
Cette reconnaissance humain-divin est une connexion scalaire = un faisceau de communication consciente qui se déploie entre l’esprit et la forme, la source et l’expérience, le créateur et la créature.
La conscience s’ouvre au global, au royaume des harmoniques et des perspectives élargies.
Des filtres disparaissent, comme je l’ai déjà évoqué dans l’article sur la conscience multidimensionnelle, nous vivons des situations depuis plusieurs niveaux de compréhension simultanément, nous voyons la situation d’ensemble et notre personne n’est plus la priorité.
L’interface est notre centre d’expérience, dont nous avons à prendre soin, apprécier et optimiser, mais nous nous insérons dans le champ global interconnecté. Nous savons que nous sommes venus œuvrer ensemble et que la vie de surface, superficielle, n’est qu’une facette. Une facette tout aussi importante que les autres car via les résonances harmoniques nous interagissons depuis chaque pensée, émotion, sentiment, acte.
Mais la vie quotidienne, « normale », sociale, n’est pas LA SEULE réalité. C’est une strate partielle, limitée par le filtre duel auquel la majorité de la population humaine est encore attachée et qu’elle reconnaît comme la réalité. Or ce qu’on reconnaît, on le valide, on le tient pour vrai, on l’apprécie, on y croit : tout cela génère de l’expérience. CE QU’ON RECONNAÎT DEVIENT RÉALITÉ EXPÉRIMENTÉE.
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ATTENTION À L’EGO, TOUJOURS À L’AFFÛT !
L’ego est très attaché au besoin de reconnaissance, que ce soit l’ego personnel ou l’ego spirituel.
Le besoin de reconnaissance égotique est une souffrance vécue par de nombreuses personnes aujourd’hui, tant qu’elles n’ont pas reconnu leur essence divine.
Il est important de comprendre que ce besoin, capté et dévié par l’ego, est avant tout un écho de l’appel à la reconnaissance interne. Mais tant que nous ne sommes pas prêt à nous plonger dans notre intériorité, nous projetons ce besoin à l’extérieur et demandons à l’extérieur de le combler… ce qui est impossible et illusoire.
Notre reconnaissance s’effectue nécessairement d’abord par l’intérieur, par la reconnexion à l’essence. Cette validation interne entraîne que nous ne soyons plus en recherche du regard de l’autre pour nous sentir exister, que nous ne craignions plus les jugements, les mises à l’écart, que nous ne soyons plus avides de félicitations. En intégrant notre valeur, notre légitimité, notre droit et devoir de déployer nos potentiels – ce qui constitue le versant humain de la reconnaissance –, d’une part nous activons notre dimension scalaire et d’autre part nous nous allégeons, nous nous soulageons d’un enjeu illusoire qui nous entravait et nous prenait beaucoup d’énergie.
La reconnaissance dont nous avons besoin ne peut pas venir de l’extérieur. Rechercher la reconnaissance de personnes jouant le rôle de parents ou d’enseignants nous maintient dans l’infantilisation et nous prive de notre pouvoir.
Même s’il est gratifiant d’être validé ou encensé par des semblables, ces retours positifs sont éphémères et insuffisants pour assurer le sujet de la légitimité de son existence. Ils sont récupérés par l’ego qui va « en vouloir toujours plus », tentant de créer une dépendance et de court-circuiter la réalité de ce qu’est une reconnaissance mutuelle.
Au début de la reconnexion, plusieurs pièges égotiques se présentent souvent.
L’un d’entre eux est le désir d’être quelqu’un de « très spécial », différent et inimitable. Cela est vrai : nous sommes tous dotés d’une signature unique, sans contrefaçon possible. Mais l’ego s’approprie parfois cela à sa manière sournoise et crée des circuits dérivatifs pour empêcher la poursuite du processus. Cela s’exprime par des refus de reconnaissance d’un autre, par exemple. Nous devons alors distinguer en nous ce qui est du réel discernement : qui voit le faux, le paraître, l’illusoire ; et ce qui est de l’ego spirituel : qui se cristallise là et reproduit des comportements de rivalité, de comparaison, l’autre étant vu comme « une menace ». Ce qui est absurde du point de vue de l’Un, car nous sommes tous simultanément humain et divin, et nous ne faisons pas la course contre les autres. La reconnexion à l’essence si elle est réelle crée une ouverture au collectif, au global, à l’entraide et au service d’autrui.
Quand bien même nous serions « copié » par un autre, quand nous nous sommes reconnu au niveau global, dans l’Un, l’autre ne peut plus être une menace pour notre existence. Il ne nous prendra pas « notre » place ni « nos » ressources ni « nos » expériences. Même si provisoirement il nous copie/plagie/imite sans avoir encore intégré/exprimé sa propre note et trouvé sa juste place, cela n’altère en rien la confiance et la conscience de notre propre valeur et de la sienne. C’est juste un moment du processus.
Un autre écueil possible, quand nous avons commencé à reconnecter notre Origine et déployer notre fréquence, sera, lors d’une rencontre, de projeter notre expérience transcendante sur un autre, ce qui conduit à des fantasmes du type « flamme jumelle », illusion cristallisée là aussi par l’ego spirituel, s’appuyant sur le mythe du prince charmant, qui entrave la fluidité du processus en déviant l’attention et l’énergie vers l’extérieur, et là encore vers la reproduction des comportements humains déconnectés.
Pour restaurer notre puissance, nous devons nous reconnaître nous-même.
Et de la même manière, on peut voir le potentiel divin d’un autre, mais on ne peut pas le reconnaître à sa place.
Chacun doit d’abord se révéler à lui-même avant de se révéler au monde.
C’est alors que la reconnaissance va offrir une toute autre dimension, une toute autre importance énergétique.
Cette reconnaissance – reconnexion à l’essence – comble tout manque d’Amour dont pouvait souffrir la personnalité.
La maladie du doute est guérie, le besoin de validation extérieure s’efface, nous avons enfin la certitude d’être à notre juste place.
Cette reconnaissance opère au-delà du personnel, au-delà des conditionnements grégaires et des comportements duels d’identification/séparation ; attraction/répulsion ; acceptation/rejet.
Entrer en reconnaissance avec un autre, un semblable, ne va plus être une validation de cet autre, mais une connexion de Cœur et la compréhension d’œuvrer ensemble en toute interaction, en interdépendance.
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MA DIVINE PRÉSENCE SALUE ET RECONNAÎT TA DIVINE PRÉSENCE
Lorsque nous nous sommes reconnu à l’intérieur, que nous avons révélé notre essence, nous pouvons entrer en reconnaissance mutuelle avec nos semblables.
OM TAT SAT. Depuis le Cœur nous pouvons rencontrer et interagir avec tout être de tout règne et tout plan.
Dans cette reconnaissance interne, nous nous positionnons naturellement et simplement à notre place. Un avec et parmi les uns. Appréciant chacun dans sa divinité et son humanité. Dans sa globalité et son unicité. Dans l’interdépendance et la liberté. Acceptant la rencontre et l’interaction.
La reconnaissance mutuelle se révèle un trésor : appréciation, soutien, entraide, résonance, syntonisation, renforcement, élaboration enrichie, possibilité de coopération, effet d’entraînement par le haut.
Notre émetteur-récepteur émanant du Cœur se connecte instantanément à tout être ayant également honoré l’Appel de l’Un. Dans la transparence, la méfiance disparue, nous lisons clairement en l’autre, tant sa lumière révélée que ses zones d’ombre, et c’est ok.
La rencontre de deux êtres qui se sont déjà reconnus intérieurement n’a pas le même impact vibratoire que la reconnaissance chez un autre d’un potentiel divin encore enfoui, endormi. La puissance de cette rencontre est exprimée par la phrase de l’évangile attribuée au Christ : « là où au moins deux d’entre vous se présenteront en mon nom, je me tiendrai au milieu d’eux ». L’onde scalaire qui se déploie entre ces deux êtres est d’essence divine et créatrice.
Je nous invite à honorer, explorer et œuvrer dans le déploiement de cette reconnaissance.
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