Le Grand Rêve Inspiré

La fréquence du RÊVE SUBJECTIF est soutenue par le minéral pietersite et la fleur lotier corniculé. 

La fréquence du Rêve subjectif introduit la notion de sujet et le fait d’être au centre, le sujet directeur du rêve, le sujet qui rêve ; et de ne pas être rêvé par les conditionnements, les attentes des autres, les matrices astrales, sociétales.

LE RÊVE COMME LIEU D’ÉLABORATION IMAGINALE

Le rêve dans ce palier de fréquences correspond à la mise en récits, en images, en histoires, des désirs, des sentiments, des passions qui nous animent et stimulent les mouvements de l’énergie de vie en nous.

La fréquence du Rêve subjectif interagit avec les deux fréquences de la diagonale du désir qui sont à son niveau : Pulsion de vie et Passion consacrée. Le Rêve subjectif met les désirs en images, en mots, en déroulé d’une histoire ou d’un récit : il procure un support imaginal aux désirs et les fixe sur un objet. C’est un processus intrapsychique qui vient convertir l’énergie en information.

Cette fréquence va soutenir notre capacité au rêve lucide, au rêve éveillé, à clarifier nos récits, à cultiver l’imaginal, la capacité visionnaire, à vivre sainement nos dynamiques humaines de projection et de représentation, dans la compréhension qu’un rêve est la gestation d’un réel qui va possiblement se manifester ultérieurement.

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LA DYNAMIQUE INTROSPECTIVE

L’objectif subjectif de ces élixirs et de ce palier de fréquences est de pouvoir choisir, c’est pour ça que c’est « le meilleur choix » à la jonction centrale ! Notamment pouvoir choisir son récit et pouvoir choisir son désir !

C’est la dynamique introspective de délibération, de discrimination, de priorisation et de focalisation correcte de l’énergie, de l’attention et des moyens qui vont être mis en œuvre, de manière éclairée et guidée de l’intérieur. Tout cela favorise la PUISSANCE CRÉATRICE.

La conscience s’exerce à ne pas être juste passive, conditionnée et conséquence d’une cause externe, mais à être aussi pro-active, à se considérer et être vécue en tant que SUJET depuis la capacité de choix éclairé. La fréquence nous aide à comprendre cela pour en acquérir peu à peu la maîtrise plutôt que de le subir. Cela change tout d’être aux commandes des histoires qu’on se raconte.

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LE GRAND RÊVE INSPIRÉ

Le Rêve subjectif, c’est à la fois choisir son rêve personnel, dans ses choix de vie, et aussi se mettre à l’écoute du Rêve du Plus Grand ! Capter le Rêve qui nous constitue et nous détermine… Le Rêve originel de l’individu et du collectif.

Le rêve qui nous relie à plus profond affleure par l’INSPIRATION, toute la dynamique de l’inspiration qui va être activée lors de la Traversée du prochain Portail d’éclipses… Inspirer dans le sens de in-spire, qui nous met dans la spirale, qui nous met dans notre spirale, et dans l’esprit, dans notre Esprit.

Le rêve fait la jonction entre le sujet de surface et le véritable Sujet profond, entre l’immanent et le transcendant. C’est la fonction du rêve la nuit, il ramène à la surface le travail intrapsychique de l’inconscient, parfois le rêve affleure jusqu’au conscient, et pour certains qui travaillent sur leurs rêves ou font des rêves lucides, l’inconscient est mis en participation. Mais le rêve dont il est question ici et avec cette fréquence, ce n’est pas principalement l’expérience durant le sommeil : il s’agit de TOUT L’ENDROIT PROJECTIF QUI CAPTE LA PULSION DE VIE, LA PASSION PROFONDE ET LEUR DONNE UNE FORME, LES REPRÉSENTE, et en faisant cela ça ouvre le chemin vers une possible manifestation, si c’est connecté à du Réel objectif.

Si le rêve est complètement hors-sol, il peut et risque de rester dans le domaine fantasmatique disjoint de la réalité, de l’expérience et de la possibilité de réaliser ce rêve. Il doit être relié simultanément à l’objectivité du réel, à l’énergie de la pulsion et à la puissance engageante et impliquante de la passion. C’est la dynamique de base de ce palier de fréquences, le nœud papillon dont le centre sera le « meilleur choix ».

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GARE AUX FAUX RÊVES !

Dans le rêve, il y a la notion de vision qui est importante, vision inspirée du plus profond, le Grand Rêve, et il y a aussi tous les faux rêves, qui ne sont pas les nôtres, qui sont des rêves culturels, naturels (si par exemple un rêve érotique alors que ce sont juste les hormones qui s’agitent), ça ce sont des rêves qui ne sont pas à la hauteur de l’enjeu qualitatif humain qui a besoin de passer un cap en tant que grand rêveur. Parce que la qualité d’un grand rêveur, c’est de féconder un rêve et de mener ce rêve en gestation jusqu’à sa réalisation, jusqu’à ce qu’il devienne une expérience manifestée sur ce plan, qui se réalise !

Le Rêve subjectif est une des étapes de la dynamique créatrice de l’être humain.

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D’OÙ ET QUAND VIENT L’INSPIRATION ?

Quand j’observe mon propre fonctionnement, l’inspiration n’est pas tout le temps active, mais elle s’allume régulièrement, et quand c’est le cas elle me stimule énormément, captive mon attention, se pose en priorité.

Mais ce n’est pas le moi conscient qui décide quand l’inspiration jaillit et revient.

Je vois plusieurs facteurs favorisant son déploiement.

Au niveau superficiel et de la vie quotidienne, cela demande d’être disponible, d’avoir choisi de libérer de l’espace et du temps pour se poser, faire la jonction en dedans et accueillir les informations.

Il y a aussi le moment propice, où après une maturation interne c’est prêt à se transformer en rêve, puis du rêve à se transformer en élaboration puis en logos.

L’inspiration qualitative vient des profondeurs de l’Être, qui stimule régulièrement, à travers les moments propices des cycles d’une part, et d’autre part dans les sillons qui sont déjà ouverts par les choix de la personne expérimentant.

Ces sillons constituent les spires des vortex de vie : ils permettent une continuité, une progression, alors que s’ils n’ont jamais été tracés ni ouverts ça ne peut pas progresser et ni même exister…

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La question du Rêve subjectif nous entraîne sur LA QUESTION DES MATRICES ET DES CROYANCES.

Au-delà du Grand Rêve qualitatif, le rêve c’est plein de choses : c’est à la fois la forme qu’on va donner à nos désirs, le projet qu’on va chérir et essayer de mettre au monde, les fantasmes, les idéaux, toute l’illusion, et c’est aussi toutes les croyances, c’est un domaine immense !

Dans la fréquence du Rêve subjectif, les questions fondamentales sont : qui est le Sujet du Rêve ? Qui est-ce qui rêve, qu’est-ce qui est rêvé, qui est-ce qui est rêvé ?

En intrapsychique, toutes les croyances qui sont admises, validées deviennent des programmes qui gouvernent nos récits, nos attitudes, et modèlent nos récits et compréhensions de l’expérience. C’est pour cela que le travail introspectif de mettre au jour ses croyances, de les mettre en question et de les réviser est si important. Pour cela, L’AUTRE est infiniment précieux, dans toute sa différence qui va nous permettre de nous rendre compte de nos œillères.

Avoir accès à notre Rêve subjectif déclenche plusieurs dynamiques simultanées : une qui va vider, épurer, vidanger tout ce qui n’est pas notre rêve, tout ce qui nous a été implanté. S’il y a bien un endroit où les implants existent, c’est bien dans les croyances ! Tout un travail d’épuration et de délestage, avec la difficulté qu’on est dans l’inconscient : ce sont des programmes qui fonctionnent par défaut, donc ils fonctionnent en arrière-plan, de manière implicite, et comme si ça allait de soi. Pour le débusquer, souvent l’autre va être précieux pour ça. Car avec l’autre il y a des croyances qui sont partagées et d’autres qui ne sont pas partagées, et cette rencontre d’une altérité, de quelqu’un qui ne fonctionne pas comme nous, qui n’est pas conditionné par les mêmes croyances, va être une formidable ouverture pour se remettre en question et faire le tri dans ce qui nous semble implicite, avec des questions du type : est-ce que ça me correspond réellement ? est-ce encore actuel ou juste une répétition de quelque chose d’installé mais n’ayant plus de raison d’être ? est-ce que c’est une bonne tactique, judicieux ?